samedi 31 mars 2012

Bird'N'rolling week :Dionysos - Bird'N'roll

Comme je vous l'annonçais ici, lundi dernier, ma moitié et moi avons assisté à un concert inoubliable du groupe Dionysos pour la présentation de leur nouvel album : Bird'N'roll.

Il n'y a vraiment rien de mieux pour découvrir un album que de le voir présenté en live. Et quel live ! Un concert emplumé, rock à souhait, où l'on a chanté, dansé, partagé la joie du groupe de retrouver la scène et de nous faire partager leurs nouvelles chansons. Mathias, Babet et les autres avaient pour l'occasion engagé trois "bird'n'rolleuses" toutes vêtues de rouge, parmi lesquelles Johanna Hilaire, qui a inventé les pas du Bird'n'roll, danse à maitriser de toute urgence ! 


Parlons maintenant de ce fameux nouvel album ! Bird'N'roll, c'est un mélange de rock, de bruissement d'ailes d'oiseaux et de rires féminins, le tout emprunt de poésie, d'humour, d'imagination et de sensibilité, avec bien sur une grande dose de Dionysos, porté par l'énergie infinie du chanteur, Mathias Malzieu.
Mes chansons favorites : June Carter en slim, Bird'n roll : elle sont plus qu'entrainantes, à la mode "rock rétro", surprenant venant du groupe et leur correspondant en même temps si bien. Le roi en pyjama : ou comment voguer sur la mer de nos rêves...


Photo : Rod Maurice / Le HibOO 

jeudi 29 mars 2012

Bird'N'rolling week : Métamorphose en bord de ciel, Mathias Malzieu

Il y a un an déjà, est paru le roman de Mathias Malzieu : Métamorphose en bord de ciel

C'est l'histoire de Tom Cloud, le plus mauvais cascadeur itinérant du monde, qui se déplace en cercueil et est accompagné d'un bouquet d'oiseaux tous nommés Platini. Atteint d'une maladie très grave, qu'il appelle la betterave, le héros se retrouve après une chute mémorable à l'hôpital, où il rencontre une femme-oiseau qui lui propose de le transformer en oiseau en échange d'un enfant... 

Bien sur je ne vous raconte pas la fin, mais sachez que ce livre est d'une poésie incroyable. Mathias Malzieu a une imagination débordante, il voit le monde d'une façon très poétique, qui parait enfantine mais ne l'est pas vraiment puisqu'elle est souvent pleine d'érotisme et qu'elle traite des thèmes aussi graves que la maladie, la mort... 

Après La mécanique du coeur,  Métamorphose en bord de ciel nous emmène dans un univers aussi sombre que céleste. Il existe une édition limitée accompagnée de magnifiques illustrations dont je vous parlais ici


Ce roman a donné naissance au dernier album de Dionysos sorti cette semaine, Bird'N'roll, dont je vous parlerai très très prochainement ! 

mercredi 28 mars 2012

Bird'N'rolling week : DIY n#7 : birdie marque-page

Cette semaine a commencé très fort, avec un concert de Dionysos au top, pour la présentation de leur nouvel album, Bird'n'roll, dont le point de départ est le livre de Mathias Malzieu, Métamorphose en bord de ciel. Je vous parlerai plus particulièrement du livre, du nouvel album et du concert dans les jours venir, mais en attendant voici un petit DIY de circonstance !

Peut-être ne le savez vous pas encore, si c'est le cas je vous l'annonce, j'aime beaucoup (c'est un euphémisme) les marques-page. Je récupère et achète tous ceux qui passent sur mon chemin, et c'est donc tout naturellement que je me suis dit que je pourrai en fabriquer un ! 





Matériel utilisé : 
- Feuille cartonnée 
- Ciseaux, règle
- Feutres : un rouge un noir
- super glue
- plume (la mienne est tombée du ciel pendant un certain concert)
- pinceau et vernis-colle

Commencez par découper dans la feuille cartonnée votre marque-page, puis coloriez une face en noir et l'autre face en rouge, puis passez une couche de vernis dessus :



Sur la face rouge, écrivez ce qu'il vous plait : j'ai choisi le titre du nouvel album de Dionysos. 


Sur la face noire, collez la plume avec de la super glue. 



 Happy mercredi !



mercredi 21 mars 2012

D.I.Y. n#6 : Home is wherever I'm with you








Ce DIY me vient tout droit de chez A beautiful Mess, c'est une idée que j'ai adorée et que j'ai donc décidé, avec l'accord d'Elsie, de vous traduire! (avec quelques modifications dues au fait que je n'ai pas trouvé de lettres en vinyle!).










Matériel nécessaire: 
- tableau 
- scotch repositionnable ou lettres en vinyle si vous trouvez !
- peinture acrylique blanche
- pinceau 
- ciseaux 


Commencez par prendre un tableau sur support cartonné (l'idéal ce sont les tableaux numérotés de notre enfance! Je n'en n'avais pas alors j'ai pris une feuille pour scrapbooking, pas assez cartonnée à mon gout mais qui a quand même bien fait l'affaire).  






Il faut ensuite, à l'aide de scotch repositionnable, former les lettres de ce que vous souhaitez écrire sur votre tableau (j'ai choisi les paroles de la chanson Home, de Edward Sharpe and the Magnetic Zeros).
C'est la partie la plus longue, car il faut faire attention à ce que toutes les lettres soient de la meme taille : pour cela j'ai tracé des lignes au crayon de papier sur la feuille.











L'étape suivante est un jeu d'enfant : il suffit de recouvrir la totalité de votre tableau de peinture acrylique blanche, puis laisser sécher. 
















Enfin, une fois la peinture séchée, il n'y a plus qu'à enlever les scotchs, et vous avez votre tableau !  


mardi 20 mars 2012

I so ♥ Sophie Calle

C'est dit et redit, j'adore l'art de Sophie Calle. Cela fait bien longtemps que j'avais prévu de vous en parler, mais je crois que je l'aime trop pour réussir à en parler bien. Sophie Calle fait une forme d'art assez particulière, qui ne semble rentrer dans aucune case.



Sophie Calle = OBHNI (Objet Humain Non Identifié). 
Pour en dire un peu plus, Sophie Calle est passée par la révolution des palestiniens au Liban pour ensuite suivre un projet en architecture dans les Cévennes, puis suivre un homme pêcheur en Crète, pour ensuite se rendre sur le continent américain pour le fuir, et enfin (ou presque) revenir à Paris pour devenir la photographe et artiste que nous connaissons. 
Sophie Calle a fait engager un détective privé par sa mère et qui devait suivre tous ses faits et gestes. Elle a demandé à des aveugles de lui dire ce qu'est pour eux l'image de la beauté. Elle s'est faite engager comme femme de ménage dans un hotel à Venise et a pris en photo le contenu des valises des clients. Après s'être faite plaquée par voie postale elle a demandé à 107 femmes de répondre à cette lettre. Elle a demandé à des gens (connus et inconnus) de venir dormir dans son lit.. Et bien d'autres choses loufoques, qui font sourire, s'interroger, et qui sont plus que brillantes. Ses oeuvres font ressortir toutes les facettes de l'humanité à travers des situations, des mises en scène, des objets, des interviews, des photos, des textes... Sophie Calle est souvent à la fois dans la fiction et dans la vérité brute.



Cet article aurait pu finir comme son oeuvre Unfinished, travaillée et retravaillée pendant 15 ans pour être finalement publiée dans sa première version et avec les commentaires de son échec. 
Mais après maintes réflexions et essais de vous parler de son oeuvre dans son intégralité, j'ai fini par sélectionner une oeuvre à vous présenter : Gotham Handbook.
Ici, Sophie Calle est un personnage de roman, auquel elle s'est ensuite identifiée directement pour en créer une oeuvre. J'explique ! Paul Auster s'est inspiré de sa personne pour créer le personnage de Maria dans le roman Leviathan. L'artiste a décidé en retour de correspondre à ce personnage : elle a demandé à Paul Auster de lui donner quelques directives afin de vivre comme l'aurait fait Maria. C'est ce qui a donné Gotham Handbook.
Les directives de Paul Auster :
- "sourire"
- "parler à des inconnus"
- "Distribuer de la nourriture et des cigarettes aux sans-abris"
- "Adopter un lieu public"

C'est ainsi que l'artiste s'est rendue au croisement des rues Greenwich et harrison à New-York, pour y installer une cabine téléphonique des plus originales : "Dans la nuit du mardi 20 septembre 1994, je prends possession de la cabine téléphonique. Je commence par épousseter et astiquer. Deux hommes m’observent. L’un d’eux me demande : « Vous faites aussi les carreaux à domicile ? » Dois-je inaugurer la corvée du sourire ? Je préfère remettre cette besogne à demain et répondre car, c'est vous qui l'avez dit Paul, les hommes sont des porcs. Cinq minutes se sont à peine écoulées, et déjà mes craintes sont confirmées : ils me prennent pour une cinglée. Tant pis. J’attaque le sol que je peins en vert, je dispose les cartes postales, le miroir, le cendrier, les fleurs et j’enchaîne les sièges."

Ensuite, elle est restée aux abords de la cabine téléphonique et a offert gracieusement sourires, cigarettes et sandwiches aux passants, qui pouvaient écrire un mot dans la cabine, et dont elle a répertorié toutes les réactions et actions. 




"Bilan de l'opération : 125 sourires donnés pour 72 sourires reçus 22 sandwiches acceptés pour 10 refus 8 paquets de cigarettes acceptés, pour 0 refus 154 minutes de conversation"

vendredi 16 mars 2012

Extremely Loud and Incredibly Close

Lundi dernier, sur les conseils bien plus qu'avisés de ma moitié, je suis allée voir en compagnie d'une poignée d'amis un film captivant, bouleversant, et en même temps enrichissant.
Ce film offre bien plus qu'une leçon de vie. Les mots étant difficiles à trouver pour le décrire, je vais me contenter de vous résumer en quelques mots l'histoire et de vous dire ce que j'en ai pensé.

En français "Extrêmement fort et incroyablement près" (mais à ne surtout pas voir en français s'il-vous-plait!), c'est l'histoire d'un jeune garçon dont le papa est décédé lors du "worst day", le 11 septembre 2001. Cherchant à trouver un sens à ce monde qui parait avoir perdu toute logique, le jeune Oskar part à la recherche de ce qu'une mystérieuse clé trouvée dans les affaires de son père pourrait ouvrir. Un récit initiatique hors du commun, poignant sans tomber dans le pathétique, et qui m'a fait ouvrir les yeux sur bien des aspects de la nature humaine.

Le tout mené par un casting incroyablement bien choisi : Sandra Bullock et Tom Hanks dans le rôle des parents, et Thomas Horn dans le rôle d'Oskar.
Enfin, "last but not least", le réalisateur est JUSTE Stephen Daldry, oui oui, c'est bien celui qui a réalisé le magnifique The Hours, et le génialissime The Reader, autres superbes adaptations de livres au cinéma.

Il a été adapté du roman de Jonathan Safran-Foer, auteur américain. En bref, c'est un film à voir d'urgence, vous ne le regretterez pas !


mercredi 14 mars 2012

D.I.Y. n#5 : fabriquez une housse personnalisée

Voici un petit D.I.Y. pour que vous puissiez réaliser vos propres housses de téléphone, idéal pour les débutants en couture.



Matériel :


- Feutrine
- tissu
- ciseaux
- fil et aiguille, épingles









Voici les patrons dont vous aurez besoin pour un iphone : celui de gauche correspond au tissu, il mesure 9x18cm et celui de droite à la feutrine, il mesure 8,5 x 17cm.
Pour tout autre téléphone il suffit de prendre 0,25 cm de plus que les dimensions du téléphone pour le tissu, et 0,75cm de moins pour la feutrine.













1ère étape : pour chaque partie de feutrine et de tissu, placez le morceau de feutrine sur le tissu que vous aurez découpé, 









puis cousez les ensemble, en laissant une partie non cousue : 
2ème étape : sur le côté où vous n'avez pas cousu, repliez le tissu sur la feutrine et cousez comme sur la photo.   

















3ème étape : cousez les deux parties ensemble, en n'oubliant pas de surfiler pour que le tissu ne s'effiloche pas. 










4ème étape : il n'y a plus qu'à retournez le tout, et vous avez votre housse de téléphone ! 

















mardi 13 mars 2012

"Ajoutez deux lettres à Paris : c'est le Paradis" (Jules Renard)

Entre Paris et moi c'est une grande histoire. Il y a quelques années je rêvais d'être parisienne, alors qu'au-dessus de mon lit trônait Le baiser de l'hotel de Ville de Doisneau, et que dans mon sac trainait Zazie dans le métro de Queneau...  Aujourd'hui je le suis, et chaque jour je m'extasie devant la beauté de cette ville.
S'il y a bien un domaine qui a su montrer la beauté et la singularité de cette ville avec sensibilité, réalisme, poésie, humour parfois, c'est bien la photographie. C'est pourquoi aujourd'hui j'ai décidé de vous faire partager une sélection des photos de Paris qui m'ont le plus touchée.

René Jacques, zone de Clignancourt, 1936. 
Cette photo d'enfant jouant dans le caniveau témoigne des difficultés sociales auxquelles les parisiens ont pu être confrontés dans les années 1930. Parce que Paris c'est loin d'être seulement des paysages touristiques, c'est aussi une innocente pauvreté qui vous saute au visage.  
Sabine Weiss, 1953. 
Parce qu'à Paris on a souvent cette impression qu'au prochain tournant on trouvera la lumière du soleil. Cette personne qui court donne un sentiment de liberté exaltante.
Eugène Atget, rue François Miron, 1899. 
"J’aimerais qu’il existe des lieux stables, immobiles, intangibles, intouchés et presque intouchables, immuables…" C'est une citation de Georges Perec, mais ce pourrait être Eugène Atget : en effet, l'homme s'est attaché à photographier le vieux Paris dans les années 1890, au moment où la ville subit de grandes transformations. Le photographe, avec son esprit de collectionneur et d'historien, décide de photographier des immeubles ayant une histoire, où s'inscrivant dans l'Histoire.  
Willy Ronis, Bal du 14 juillet, rue du Petit-Pont, 1961.
Parce que Paris est une fête, et qu'on est tous un peu nostalgiques de ce que nous n'avons pas vécu. 
Erwin Blumenfield, Lisa Fonssagrives pour Vogue, 1939. 
Cette photo plus que connue nous rappelle que Paris est la ville de la mode, ville espiègle, tout y semble possible. 
Edouard Boubat, jardin du luxembourg, 1980.
J'aime beaucoup cette photo qui nous balance en pleine face cet amour d'adolescents. Il ne faut pas l'oublier,  "Les gens qui voient de travers
Pensent que les bancs verts
Qu'on voit sur les trottoirs
Sont faits pour les impotents ou les ventripotents
Mais c'est une absurdité
Car à la vérité
Ils sont là, c'est notoire
Pour accueillir quelque temps les amours débutants" (G. Brassens)
Quant au Baiser de l'hotel de Ville de Doisneau, on ne le présente plus, il parle de lui-même. 
Enfin, ces dernières photos sont extraites de l'exposition Métropolisson de Janol Apin, qu'une miss Paris IV m'a fait découvrir et que j'ai tout de suite adorée, une façon pleine d'humour et de second degré de revisiter le métro parisien. (Pour en savoir plus c'est ici). 

jeudi 8 mars 2012

Que se passerait-il si la reine d'Angleterre se passionnait pour la littérature ?

N'ayant pas trouvé la version originale du roman d'Alan Bennett, c'est une traduction de The Uncommon Reader que j'ai lu : La reine des lectrices, édité chez Denoel, mais aussi paru récemment chez Folio.

Si vous avez envie de lire un roman facile, passionnant, et drôle, je ne peux que vous conseiller cette lecture (et plus particulièrement la version anglaise si vous la trouvez, car j'ai senti en lisant la traduction que certains épisodes auraient pu être vraiment hilarants en version anglaise).

Dans son roman, Alan Bennett a choisi une héroine de haut rang : la reine Elizabeth II. Alors qu'elle rattrape l'un de ses chiens aboyant sur le bibliobus, elle y  rentre pour saluer le bibliothécaire et fait alors deux rencontres : celle d'un jeune homme qui la guidera dans sa nouvelle passion pour la lecture, et les livres, qui désormais ne la quitteront plus.  Mais quelle mouche l'a piquée pour que la reine s'intéresse aux livres? Tout le monde autour d'elle s'inquiète de la voir autant plongée dans les livres, ils la croient peut-être sénile, ou malade, alors qu'elle se trouve une seconde jeunesse. La lecture envahit tellement la vie de la reine qu'elle décide d'inviter de grands auteurs à prendre le thé, qu'elle utilise des subterfuges pour pouvoir lire dans son carrosse tout en saluant les passants... mais que de situations embarrassantes l'attendent...

Jusqu'où la passion pour les livres de la reine Elizabeth pourrait la mener ?
Pour le savoir, vous devrez lire ce roman, dont la fin vaut le détour, c'est promis !

mercredi 7 mars 2012

D.I.Y. n#4 : "je décopatche, tu décopatches, il décopatche, nous décopatchons"...

Aujourd'hui je vous propose un DIY "décopatch", une technique qui permet de personnaliser à peu près tout ce que vous voudrez.

Matériel nécessaire : 
- objet que vous souhaitez customiser (j'ai choisi une petite boite en papier mâché achetée en magasin de loisirs créatifs et un gobelet Starbucks).
- feuille décopatch (achetée en magasin de loisirs créatifs, trouvable sur internet à moins d'1euro)
- vernis-colle
- pinceau
- ciseaux
- crayon 

Commencez par délimiter au crayon si besoin, puis découpez la quantité de feuille dont vous avez besoin pour recouvrir toute la surface de l'objet à décorer :


 Recouvrez toute la surface de votre objet avec du vernis-colle :


Appliquez le papier directement dessus en évitant les plis, puis recouvrez de nouveau toute la surface de vernis-colle. Il n'y a plus qu'à laisser sécher.


J'ai aussi customisé un gobelet starbucks car j'avais besoin d'un pot à crayons assorti à ma petite boîte !


Happy mercredi !  


"Tape ain't gonna fix it
Honey, it ain't gonna stick
Tape ain't gonna fix it
Honey, it ain't gonna stick to you

Six kinds of glue
Won't hold you
Won't hold you
Oh my oh, oh my

You've got to
You've got to go straight ahead
You've got to, you've got to go straight ahead"
(Tape song, The Kills)

samedi 3 mars 2012

"Je mange un kiri et la vie me sourit... "

Voici une recette facile et rapide à réaliser : 
mini croissants au Kiri et champignons de Paris. 


Ingrédients (pour une vingtaine de croissants) :

- une pâte feuilletée
- quelques champignons de paris
- du kiri

Préparation
- préchauffer le four à 180°c 
- rincer les champignons, les vider, puis les couper en petits morceaux
- couper la pâte feuilletée comme une tarte, en faisant de grands triangles
- sur la base de chaque triangle déposer un morceau de kiri, puis quelques morceaux de champignons



- enrouler chaque triangle de la base vers le sommet

- déposer les croissants sur une feuille de papier sulfurisé étalé sur une plaque de cuisson

- enfourner 20min, et servir chaud. 

Cette recette est bien-sûr adaptable à toutes vos envies (fromage, jambon, légumes...). 

PS : Merci à la reine des croissants, j'ai nommé Laura D. de m'avoir expliqué la technique de l'enroulage de croissants !