Cette année, l'Opéra de Paris joue à Bastille le ballet La Belle au bois dormant, sur une musique de Tchaikovski et une chorégraphie de Noureev, d'après Marius Petipa. J'ai eu la chance folle de pouvoir y assister et j'ai été simplement époustouflée (best birthday gift ever!).
Alors, comment vous dire... Cette soirée fut juste magique : des danseurs plus performants les uns que les autres, des costumes brillant de mille feux, une musique merveilleuse, un immense décor, tout était réuni pour sortir de l'Opéra des paillettes plein les yeux.
Ce que j'ai préféré : Mathias Heymann dans le rôle du prince Désiré, virevoltant partout sur la scène, témoignant tout son bonheur d'épouser la magnifique Aurore à l'aide de magnifiques tours, sauts, entrechats, le tout à une vitesse fulgurante.
Ce que j'ai préféré : Mathias Heymann dans le rôle du prince Désiré, virevoltant partout sur la scène, témoignant tout son bonheur d'épouser la magnifique Aurore à l'aide de magnifiques tours, sauts, entrechats, le tout à une vitesse fulgurante.
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Description du ballet du site de l'Opéra de Paris : |
« Ballet des ballets », comme le qualifiait Rudolf Noureev, La Belle au bois dormant demeure un des joyaux du patrimoine de la danse. Créé en 1890 au Théâtre Mariinski de Saint-Pétersbourg, il est l’œuvre conjuguée du chorégraphe Marius Petipa et du compositeur Tchaikovski. S’inspirant du conte de Charles Perrault, ils conçoivent un « ballet féerie » où s’entremêlent le rêve et la réalité, où fées et marraines, forces du Bien et du Mal se disputent le sort de deux jeunes gens. Il faut attendre 1989 pour que Rudolf Noureev remonte l’œuvre pour le Ballet de l’Opéra d’après la chorégraphie originale. Reprenant le découpage et la structure de la pièce, transmis par des générations de danseurs, il conçoit une chorégraphie éblouissante de virtuosité académique, entre fastueux ensembles et pas de deux. La somptuosité des décors et costumes imaginés par Ezio Frigerio et Franca Squarciapino recréent la splendeur de l’un des plus achevés et brillants chefs-d’œuvre du répertoire classique.
La Belle au bois dormant, d'après le conte de Charles Perrault, musique de Tchaikovski, Chorégraphie de Noureev, à l'Opéra Bastille jusqu'au 4 janvier 2013
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